Lieux de mobilisation de la société civile, ayant souvent des valeurs de solidarité et d’humanité, les associations sont tenaillées entre la logique capitaliste et leur idéal démocratique. À côté des bénévoles, elles emploient 1,8 million de personnes, dont beaucoup sont stagiaires ou précaires, comme si les salariés devaient y faire les frais du militantisme des bénévoles. En mettant à plat les réalités sociales et économiques, les auteurs pointent des solutions pour que ce secteur cesse de pénaliser ceux qu’il emploie.