Les préoccupations environnementales et la moindre influence des États par rapport à celle des multinationales participent à l’émergence des soft laws issues de l’entreprise. Certains y voient le nec plus ultra de la loi moderne parce qu’elles seraient universelles et que l’autodiscipline des puissants devrait réconcilier droit et morale. Sauf que, pour faire des adeptes, la RSE devrait d’abord être enseignée. Ce dont nous convainc, exemples à l’appui, l’auteure, consultante RSE.