En matière de leadership, au-delà de la théorie, c’est la personnalité du leader qui fait la différence, car nos organisations sont restées très hiérarchisées : le chef est la cheville ouvrière de la performance, tandis que nombre de compétences subalternes restent en friche. Pour l’auteur, consultant en management, ce modèle freine le travail collaboratif. Il propose d’y adjoindre une sociocratie de décision : chacun, dans les limites de son périmètre de compétences, aura une voix égale aux décisions dans l’entreprise.