L’amour de soi, toujours suspecté d’égoïsme, semble dans la tradition judéo-chrétienne s’opposer à l’altruisme, comme s’il fallait choisir entre soi et les autres. Pour l’auteur, coach et consultant, l’amour-propre est au contraire une vertu nécessaire pour aimer les autres dans la vie personnelle comme au travail. L’individu « bien dans ses baskets » est non seulement performant et créatif, mais il fait aussi du bien à ses collègues qu’il entraîne par émulation dans sa voie. Un discours qui devrait inciter les responsables RH à être attentifs à la santé émotionnelle des salariés.