Jean-François Mesplède, Page Decriture, 160 pages, 25 euros.
Fin du 19e siècle, Joseph Opinel employait deux ouvriers et produisait six douzaines de couteaux par jour dans un petit village de la Maurienne. Aujourd’hui, près d’une centaine de personnes travaillent dans les usines Opinel, où l’on fabrique 15 000 couteaux par jour. À l’heure où l’industrie française se cherche une nouvelle légitimité, l’auteur, journaliste, raconte la success story d’une PME française devenue emblématique d’un savoir-faire qui a su se renouveler. Un livre qui entend rendre hommage à la lignée des patrons de la firme qui porte leur nom, mais aussi à l’ensemble de ses salariés, qui ont permis à l’entreprise de subsister en innovant.
