Un salarié sur trois serait prêt à sacrifier une partie de son salaire (2,9 % en moyenne) afin de conserver son emploi ou de décrocher un CDI, selon une enquête de l’université de Nyenrode réalisée auprès de 79 000 personnes. Pour obtenir un poste plus proche de son domicile, une baisse de 2 % du salaire serait acceptée. Parmi les autres raisons pour lesquelles ils consentiraient à voir leur feuille de paie rognée : un relâchement des contrôles hiérarchiques, des jours de congés supplémentaires ou l’attribution d’une voiture de société.
5 octobre. Intermediair. Hebdomadaire.
En l’espace de trois ans, la moitié des employeurs a revu à la baisse les conditions d’embauche dites “secondaires”, relève une étude de l’institut de sondage TNS Nipo. Outre les réductions de coûts invoquées pour parer à la crise économique, les entreprises revoient des avantages considérés comme désuets. À part la suppression du 13e mois, le holà a surtout concerné l’usage gracieux des véhicules de société et l’utilisation personnelle des mobiles, tablettes et autres appareils de l’entreprise.
1er novembre. Het Financieele Dagblad. Quotidien.