Guy Jayne, Les Éditions de L’Atelier, 320 pages, 30 euros.
Si la gestion des compétences rencontre sa limite et ses détracteurs, c’est, selon l’auteur, spécialiste en la matière pour la métallurgie, parce qu’elle ne restera qu’un cautère sur une jambe de bois tant qu’elle servira une logique tayloriste prescriptive pour toutes les tâches ou procédures. Dans ces démarches, il existe toujours ceux qui conçoivent, ceux qui ordonnent et ceux qui exécutent. Les entreprises se sont souvent contentées de développer la polyvalence. Exemples à l’appui, l’auteur montre qu’on peut aller plus loin en se centrant davantage sur les hommes que sur les postes, afin qu’ils participent à l’intelligence des organisations.