J.-P. Guillot et D.-A. Michel, éditions de l’Atelier, 112 pages, 12 euros.

En France, 98 % des salariés travaillent dans des entreprises de moins de 50 personnes. Le dialogue social y est souvent inexistant car jugé superflu ou dangereux. Superflu, car les salariés et leur patron échangent tous les jours ; dangereux, parce qu’il semble représenter une menace pour l’employeur. Pourtant, dialogue et relations sociales ne sont pas synonymes. Les auteurs expliquent comment le dialogue social peut constituer une solution pour les TPE en contribuant à leur visibilité, dans un monde économique où elles sont souvent occultées par les grosses structures.