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DANS LE MONDE

Actualités | publié le : 31.01.2012 |

États-Unis

Disney laisse pousser la barbe

Elle était interdite depuis plus de cinquante ans : à dater du 1er février, la barbe peut faire son retour sur le visage des salariés des parcs d’attractions Disney aux États-Unis. Déjà, au chapitre des pilosités, le dress code du royaume de Mickey s’était un peu assoupli en 2000 avec l’autorisation du port de la moustache. Néanmoins, la règle reste stricte : les barbes ne doivent pas dépasser 6 mm (un quart de pouce). Quant aux tatouages visibles et autres piercings, ils demeurent interdits. Et les femmes n’ont eu le droit de se dénuder les bras qu’en 2010. Ces clauses figurent sur chaque contrat de travail.

États-Unis

Accord entre Novartis et ses visiteurs médicaux sur les heures supplémentaires

La direction de la filiale américaine de Novartis vient de s’entendre avec plus de 7 000 visiteurs médicaux (actuels et anciens) qui poursuivaient le laboratoire pour défaut de paiement d’heures supplémentaires. L’accord passé avec les avocats des salariés prévoit le versement de 75 millions d’euros. La direction de Novartis considère pourtant que le statut des visiteurs médicaux l’exempte du paiement d’heures supplémentaires. Mais elle a préféré mettre un terme à un conflit qui dure depuis six ans, à quelques mois de la décision de la Cour suprême qui doit examiner cette question de l’exemption pour l’ensemble de la profession (lire Entreprise & Carrières n° 080).

Royaume-Uni

Les managers intermédiaires sous pression

La moitié des managers intermédiaires se disent sous « pression excessive » au travail, indique une étude du CIPD, la fédération britannique des professionnels des RH, publiée le 25 janvier. C’est bien plus que la moyenne des salariés, dont 37 % se plaignent d’une pression excessive au travail au moins une fois par semaine. « Ils sont chargés de traduire sur le terrain des objectifs stratégiques délicats et se trouvent en première ligne lors des réductions d’effectifs », résume le CIPD, qui alerte les employeurs sur les risques de burn-out, notamment pour les 20 % de middle managers qui se disent sous pression tous les jours.