Depuis le 11 septembre 2001, les grands groupes présents à l'international ont renforcé leurs dispositifs pour parer aux situations d'urgence. En cas d'attentat, de guerre ou d'épidémie, des cellules de crise s'activent pour gérer, entre autres, le rapatriement des salariés. Jonglant entre principe de sécurité, intérêts commerciaux et impératifs diplomatiques.
Épidémie de Sras en Asie, guerre civile en Côte d'Ivoire, opération Liberté en Irak, attentats à Karachi et à Riyad… Au cours des derniers mois, nombre d'entreprises françaises battant pavillon international ont eu des sueurs froides. « Depuis les attentats de New York, il n'exis
Pour poursuivre la lecture de ce contenu, abonnez-vous dès maintenant