Après avoir ouvert neuf espaces de formation en libre accès en France, la société Savoirs pour tous crée le chèque formation en partenariat avec Tir groupé. Objectif : simplifier l’accès à la formation et booster le DIF. Ce nouveau chèque fonctionne comme les titres-restaurants. Pour les entreprises, il ne sera considéré comme une dépense de formation qu’une fois consommé. Bien qu’inscrit dans la loi de 2004, le décret le concernant n’est pas encore sorti.
L’organisme paritaire collecteur agréé de la plasturgie, Plastifaf, prévoit de financer 700 contrats de professionnalisation en 2007 contre 460 l’an dernier. Une campagne de communication et un site Internet ont été conçus pour l’occasion. Objectif : inciter les patrons à utiliser ce contrat en alternance pour embaucher leurs jeunes recrues.
Le service des stages de l’ESC Dijon s’attache à traquer les discriminations dans l’esprit de la charte de la diversité de la Halde. Il organise désormais le strict contrôle des 7 000 offres de stages reçues chaque année. Les offres discriminantes sont réécrites et proposées à nouveau aux entreprises qui les ont émises. Si celles-ci refusent les modifications, l’école ne publie pas l’offre.
Dauphine et CSC (spécialisé dans les technologies de l’information) ouvrent un master Consulting et ERP à la rentrée 2007. Objectif : résoudre les problèmes de recrutement de CSC qui ne trouve pas d’étudiants formés aux progiciels de gestion intégrés. L’entreprise participe activement aux enseignements. Ses consultants assurent 150 heures de formation. Surtout, elle s’engage à proposer un stage puis un poste aux étudiants diplômés.
Lancé en 2006 par quatre branches, le certificat de qualification professionnel interindustries fête son 1000e certifié. Trois CQPI (conducteur d’équipement industriel, agent logistique et technicien de maintenance industrielle) communs sont désormais proposés et reconnus par les neuf branches signataires de la charte CQPI.
