A l'école, « tous les efforts étaient récompensés […] et la vie même semblait avoir un sens ». Mais la recherche d'un job a tôt fait de réduire à néant la vision idéale de Jeanne, gros oiseau aux allures de Shadok, qui cumule les désillusions. Sa thèse ? « Ça n'intéresse pas grand monde. »
Le monde universitaire ? De la solitude payée au lance-pierre. Le privé ? Des candidatures à gogo pour un stage. Chloë dresse ici le portrait d'une jeunesse aussi amère que superdiplômée.