Le groupe spécialisé dans la collecte et le retraitement des déchets a mis en place un système dédié qui a permis aux RH de réduire les erreurs et de gagner en efficacité.
Quatre logiciels de paie pour 300 salariés ! C’est la situation dans laquelle se trouvait SLG Recycling, un groupe tourangeau spécialisé dans la collecte, le traitement et la valorisation des déchets auprès des industriels, des artisans et des particuliers, il y a six ans. « Chacune des deux PME qui ont constitué le groupe avait conservé son autonomie. Nous souhaitions uniformiser les pratiques informatiques et RH », explique Sandrine Bourlot, responsable RH de SLG Recycling.
L’entreprise, qui, en raison de sa rapide croissance externe, est passée de 200 à 300 collaborateurs, a recherché un outil multisite (le groupe en compte 20), développé par un grand éditeur capable de faire évoluer la solution et de proposer différents modules. Le choix s’est porté sur le SIRH de Cegid, qui a été déployé en 2009. « Les six premiers mois, nous avons fonctionné en doublon. Puis nous avons migré l’ensemble sur le nouveau système », détaille la responsable RH.
SLG Recycling a intégré d’autres modules, comme la gestion de la formation et le suivi des indemnités de fin de carrière. En 2012, le groupe décide d’automatiser la gestion du temps de travail jusqu’alors saisie manuellement sur Excel. « Nous avons choisi la solution de gestion de temps de l’éditeur Asys qui s’interfaçait très bien avec notre SIRH. »
Séduite par la simplicité et l’efficacité de l’outil, Sandrine Bourlot en tire, un an après l’intégration, un bilan très satisfaisant : « Sur l’ensemble des opérations de paie, nous avons récupéré quatre jours par mois, car il n’est plus nécessaire de faire des saisies multiples. Nous gagnons en fiabilité et les managers en crédibilité car ils peuvent interroger le système en temps réel et répondre immédiatement à leurs collaborateurs », précise Sandrine Bourlot. Autre avantage du système : un meilleur échange d’informations entre les différents sites du groupe « qui permet d’avoir plus de flexibilité de la masse salariale ». Un choix tellement positif que le groupe envisage de l’étendre pour gérer les collaborateurs de sa flotte de poids lourds.
