Le géant américain de ­l’informatique a fait ses comptes : son plan de départs volontaires attire plus de candidats au départ que les 689 postes supprimés. Il doit cependant affronter devant le TGI de Nanterre la fronde de la CGT qui conteste la légitimité du plan de sauvegarde de l’emploi.

Dans l’attente du jugement, IBM ne peut procéder aux ruptures de contrats de travail, le recours étant suspensif.