La Fin de la mondialisation, François Lenglet. Éditions Fayard. 250 pages, 15 euros.
François Lenglet annonce ni plus ni moins la fin de la mondialisation. Ou plutôt un coup de frein, pas forcément négatif pour nos économies. Car la mondialisation, rappelle-t-il, a creusé les inégalités et a mené une nouvelle forme de guerre économique. Elle semble, en outre, entretenir les crises à répétition. L’essayiste tente, in fine, de trouver la voie qui emprunterait le meilleur des deux mondes, entre libre-échangisme et protectionnisme.