J’en vois trois qui sont liées entre elles : l’émergence du Saas et du cloud computing ; la mobilité avec notamment le Byod ; et la business intelligence, qui fait appel à des outils analytiques pour accéder aux informations mais aussi prendre des décisions et faire des projections.
En effet, mais jusqu’alors les entreprises s’interrogeaient sur la sécurité des données et les économies à réaliser. En 2013, elles ne se demandent plus si elles doivent y aller mais quand et comment. Elles ont réalisé que c’était un moyen de faire des économies parce que le coût d’intégration par rapport à une licence classique est divisé par trois, mais surtout parce que cela simplifie l’accès à l’information. C’est un changement qui concerne aussi le modèle économique des éditeurs.
Elle découle de la simplification apportée par le cloud puisque l’on peut se connecter n’importe où et à partir de n’importe quel terminal. La tendance du « self-service » dans le domaine RH remonte à 2008 avec le début de l’intégration des collaborateurs et des managers dans les processus RH. Nous sommes dans la continuité mais avec une intervention qui devient plus importante.