avec sursis, voilà ce que coûte un poisson d’avril qui tourne mal. Le 1er avril 2006, un salarié de Valeo décide de faire une bonne blague à son employeur. Le matin même, il appelle les services de sécurité depuis son portable pour leur signaler la présence d’une bombe dans l’atelier. Évacuation des 1 000 salariés du site angevin, mobilisation de 35 gendarmes, sans compter les pompiers, paralysie de l’atelier pendant toute une matinée… Affolé par le branle-bas de combat, le joyeux drille balance son portable dans le caniveau avant de finir par révéler son forfait. « Un poisson d’avril qui finit dans les égouts, comme c’est triste », conclura son avocat. En marge de la sanction prononcée par les juges angevins, l’homme a également perdu son emploi…
Source : la Nouvelle République du Centre Est.
