L’école de la deuxième chance de l’estuaire de la Loire (E2CEL), ouverte en octobre 2010, travaille en partenariat étroit avec l’Afpa régionale, le Cefres (organisme spécialisé dans l’insertion) et le CRI (spécialisé dans les nouvelles technologies). Ces trois organismes interviennent pour former les jeunes (sans qualification ni emploi) aux compétences clés nécessaires pour entrer dans le monde du travail : lire, écrire, compter, s’organiser, utiliser l’informatique. Objectif : permettre aux jeunes de construire un projet ou une mobilité professionnels.
FAF Propreté, Opca des entreprises de la propreté, et Opcalia, Opca interbranches, ont annoncé leur mariage en avril. Avec une collecte annuelle de 60,4 millions d’euros, l’organisme paritaire devait se rapprocher d’une autre structure pour atteindre les 100 millions d’euros de collecte qu’exige la loi.
L’école d’ingénieurs ouvre un campus à Fès en partenariat avec l’Institut polyvalent d’enseignement privé (Ipep). L’État marocain a l’ambition de former 10 000 ingénieurs par an. En 2006, le pays comptait six écoles d’ingénieurs. Il en existe aujourd’hui une cinquantaine.
L’école française s’allie à la Technische Universität München pour lancer un double diplôme franco-allemand en management et technologie. Le programme accueillera ses premiers étudiants en septembre prochain. Ils décrocheront en deux ans les masters des deux institutions.
Le textile et l’habillement ont fait auditer le dispositif PMQ : parcours modulaire qualifiant. Initié en 2005, il mêle validation des acquis de l’expérience, formation individualisée et certification professionnelle (CQPI et CQP). 4 000 certificats ont été délivrés. Un succès pour les entreprises interrogées par le cabinet Ambroise Bouteille et Associés. Les DRH observent davantage de motivation, de demandes de DIF et de VAE. Le cabinet conseille néanmoins une plus grande professionnalisation des jurys pour renforcer la crédibilité du système.
