Un accord prévoit la création d’un comité de GPEC dans chaque pays où le groupe emploie plus de 1000 salariés, chapeauté par un comité européen. Chaque responsable de filiale devra présenter les résultats annuels consolidés, des éléments prévisionnels en lien avec le contexte économique de l’entreprise ainsi que les effets prévisibles de ces données sur l’emploi et les rémunérations. Le groupe s’engage aussi à renforcer l’employabilité « dans le respect de la diversité et de l’équité ».

Un accord de méthode sur l’évaluation et la prévention des risques psychologiques définit un groupe de travail et propose un calendrier de réunions. Le texte planifie deux phases de travail : l’évaluation et l’analyse des risques psychosociaux pour identifier les facteurs de stress au travail et les leviers de progrès. Puis la construction d’un plan d’actions correctrices.

Un accord sur l’emploi des seniors couvre les 24 000 salariés français du groupe sidérurgique. L’accès à de réelles possibilités de développement individuel et aux mesures de NAO sera renforcé. Les managers seront également sensibilisés à ? la gestion des parcours des seniors.