En 1998, une étude du Cereq montrait qu'un jeune d'origine maghrébine titulaire d'un CAP ou d'un BEP avait entre 1,3 et 1,6 fois plus de risques de se retrouver au chômage qu'un jeune d'origine française. Sur son site, l'Observatoire des inégalités met en perspective des données de l'Insee et du Cereq pour décortiquer les liens entre chômage et nationalités. Les données datent de 2002 pour les plus récentes, mais témoignent déjà de grandes différences bien avant que le problème des discriminations ne soit posé.
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