C’est le pourcentage de cadres connectés à Internet contre un peu plus de 10 % des ouvriers, observe la Dares. Les salariés non connectés sont davantage soumis à des rythmes horaires contraints et une cadence élevée, tandis que les utilisateurs « peu intensifs » sont plus souvent exposés à des contraintes physiques. Les salariés connectés et mobiles bénéficient d’une autonomie dans le travail, mais se sentent souvent plus « débordés ». Les utilisateurs sédentaires parviennent mieux à concilier vie professionnelle et vie privée.