C’est le poids des prélèvements obligatoires sur la valeur ajoutée brute des entreprises industrielles, contre 24 % pour les activités non industrielles, selon COE-Rexecode. Ces chiffres ne prennent pas en compte les crédits d’impôt. Or, le crédit d’impôt recherche est lié aux dépenses de recherche et développement, qui sont plus élevées dans l’industrie qu’en moyenne dans l’ensemble des entreprises. Au total, l’industrie manufacturière bénéficie de 6,9 milliards d’euros de crédits d’impôts.