Un essai stimulant qui interroge le rôle de la dette sous un angle social. Alors que l’endettement des pays est devenu un problème crucial, les chercheurs – philosophes et anthropologues – s’interrogent sur les contradictions que la dette génère : mécanisme de domination, « outil de dressage violent », culpabilité, sacrifice, affranchissement… Le livre aborde des théories variées : rapport aux politiques néolibérales, spécificités des femmes, de la coopération intergénérationnelle, sentiment d’être redevable aux efforts des générations passées.