Dans les cinq à dix prochaines années, les facteurs qui auront le plus d’impact sur la fonction RH sont le stress (35 % des sondés), le taux de rotation de main-d’œuvre (31 %), l’épuisement des collaborateurs (27 %) et la baisse de leur efficacité (27 %) dévoile l’étude inédite “Talent Crunch” menée en 2016 par EF Corporate Solutions, spécialiste mondial en formations linguistiques, auprès de 613 dirigeants de sociétés de plus de 1 000 salariés dans 20 pays. Selon eux, le top 5 des principaux défis RH à venir sont la motivation des collaborateurs (46 %), leur créativité (36 %), leurs compétences en leadership (36 %), leur flexibilité (35 %) et le partage des connaissances (31 %). Et face à ceux-ci, les DRH gagneraient à avoir des « stratégies plus ingénieuses » souligne l’étude, notamment sur les fronts de la guerre des talents, de l’internationalisation des équipes et de la souplesse horaire. Pour les chefs d’entreprise, le collaborateur idéal à l’horizon 2025 sera polyglotte (40 %), très qualifié (40 %), flexible (38 %), doté d’un solide esprit d’équipe (31 %) et ouvert à une mutation géographique (27 %). Les employeurs qui adapteront leur politique de recrutement en ce sens, auront une longueur d’avance.