Les discussions avec les syndicats sur l’augmentation du temps de travail de 20 minutes par jour, dans le cadre des 7 h 30 quotidiennes, étaient bloquées depuis des mois. Pour mieux renouer le dialogue, le leader européen du naval de défense (13 000 salariés) a dénoncé l’accord d’entreprise datant de 2004. L’industriel, qui vise à harmoniser les conditions de travail dans tous les sites, espère dégager ainsi 30 millions d’euros par an. Une bouffée d’oxygène qui servira à moderniser l’outil de production et à recruter de nouveaux techniciens.