Proposer aux Français d’aimer leur travail, alors qu’ils le valorisent plus que tout, peut sembler étonnant. Pourtant, l’auteur, spécialiste du développement personnel, pointe du doigt que, pour plébisciter la valeur travail, les Français ne sont pas pour autant satisfaits de leur emploi. Remotiver les troupes est utile, mais ne conviendrait-il pas, au vu de l’hiatus entre les espoirs des travailleurs et la réalité de leurs conditions de travail, d’interroger le travail lui-même plutôt que de responsabiliser toujours plus les travailleurs, méthodes psy ou PNL à l’appui ? Ce n’est peut-être pas tant le goût du travail qui fait défaut au Français que le goût de leur travail. Nuance !