L’organisation taylorienne était en partie inspirée des théories mécanistes. Le management était articulé comme un mécano. L’entreprise moderne est plus complexe dans son fonctionnement interne et dans sa dynamique : les paramètres interagissent selon une logique polycellulaire, davantage apparentée à la biologie. L’auteur, professeur au groupe IGS, tente de cerner ce changement de paradigme en termes d’organisation et de RH. Son objectif : aider les acteurs à composer avec l’incertitude et la globalité.