Alors que la loi Macron achève son parcours parlementaire, l’enseigne américaine de prêt-à-porter s’est fait rattraper par la justice. Le TGI de Paris l’a condamnée le 11 mai pour l’ouverture dominicale illégale de six magasins parisiens. Et a prononcé une astreinte de 4 000 euros par salarié et par magasin concerné. Le tribunal avait été saisi en référé par le Clic-P, l’union syndicale parisienne du commerce, qui bataille sans relâche contre les ouvertures nocturnes et dominicales d’enseignes comme Marionnaud ou Sephora.